Ouverture d'esprit

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Ienzo n'avait pas parler de tout le chemin, il fini part suivre Nathao car il ne savait pas ou ce situait la cuisine enfin si mais pas complétement. Lorsqu'ils entrèrent, le réfectoire était deja bien remplit ce qui surprit le bibliothécaire. Il dégluti et resta un moment sans bouger les regard sur lui le mettait mal à l'aise. Il regarda derrière lui pour voir si le basané était toujours avec lui. Heureusement pour lui il était toujours à ses coter. Il ne savait pas vraiment comment cela fonctionnait ici alors il attendait les recommandation de celui qu'il l'avait prit sous son ailes. Il fit comme-ci il ne voyaient pas les gens. Lorsqu'il avait tourné la tête son nez effleura le tissu se qui lui permit de sentir l'odeur des vêtements, bizarrement il n'avait pas sentit ou du moins il n'avait pas fait attention à l'odeur qu'il trouvait très agréable d'ailleurs. Finalement il regretta d'avoir choisi de venir ici pour manger, quoi que si il était rester dans la chambre il aurait été seul pendant un petit moment et il se serait sentit mal à l'aise.

Nathao regarda le jeune homme aux cheveux bleus. Il était peut-etre le seul de toute la grande salle à voir que Ienzo faisait de grands efforts. D'une certaine façon, il était fier du garçon. Le rebelle lui prit le bras et l'emmena dans la cuisine a proprement parler. Là, il y avait beaucoup moins de monde : deux ou trois cuisiniers qui finissait de faire les derniers plats commandés. De plus, il faisait un peu plus calme ici que dans le réfectoire car il y avait beaucoup moins de bruit de fond comme les conversations plus ou moins fortes et emportées, etc.

- "C'est la cuisine. Lorsque que tu désire manger, soit tu fais la file et tu passe commande, on fait ce que tu as demander, on te le donne et tu vas t'assoir à une table. Soit tu viens directement ici mais de préférence quand il y a peu de monde qui commande. Comme ça les cuisto' n'ont pas des gens dans les pattes. Hum... Faut aussi dire que peu de personne peuvent venir dans les cuisines."

Nathao fit signe à un des cuisiniers d'approcher. Celui-ci obéit et les salua tout les deux. Mais il regardait Ienzo d'une façon qui voulait dire ou presque :"Mais qu'est-ce qu'il fout dans ma cuisine, lui?"

- "C'est lui le patron de la cuisine. Si tu veux un truc, tu peux le lui demander."

Il dit ensuite au cuisto' en chef:

- "Je te présente Ienzo. C'est un nouvel arrivant que j'ai pris sous mon aile..."

Il n'en dit pas plus. Il ne voyait pas vraiment ce qu'il pouvait dire de plus. Il n'allait pas avouer qu'il avait des sentiments pour Ienzo aux autres. ça non. Il allait le garder pour lui ne voulant pas être ennuyé avec les commentaires des autres. De plus il était même possible que si il avouait ses sentiments devant tout le monde, certaines personnes voudrait peut-etre lui prendre sa place.
Nathao, après avoir parlé, pris commande : de la salade, un peu de viande et c'est tout. Il n'était pas grand mangeur pour le moment.

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Ienzo suivit Nathao qui l'avait prit par le bras pour l’emmener dans les cuisines, ici c’était plus silencieux, cela faisait du bien. Il regarda les cuisiniers qui travaillaient. Il écouta attentivement les explications du rebelle, alors comme ça peut de personne pouvait venir ici, lui c’était sur tout grâce à Nathao qu'il pouvait être libre de ses mouvements enfin un peu prés.

"Je te remercie."

Il salua poliment les cuisinier, l'un d'eux arriva en face d'eux quand le basané l'appela. Celui-ci regardait le bibliothécaire de façon étrange, mais il fit comme ci de rien n’était et porta son regard sur Nathao. Alors c’était le chef très bien il allait s'en souvenir. Lorsque ce fut à son tour de commandé Ienzo ne prit que du riz et un peu de viande. Il ne voulait pas déranger alors il avait prit des chose facile à faire.Il remercia le cuisinier et regarda de nouveau Nathao.

En attendant que les plats soient fait, Nathao regarda Ienzo et croisa son regard. Il lui sourit mais n'osa lui faire la conversation de peur de dire a nouveau l'une ou l'autre parole blessante. Néammoins, il voulait s'excuser auprès du jeune homme pour ses dires. C'est vrai que cela n'a pas du être agréable d'entendre ce que Nathao lui avait dit au sujet des livres. Il n'avait pas pesé le poids de ses mots avant de parler.

- "Je suis désolé de ce que je t'ai dit avant de quitter ma chambre. Je n'avais sans doute pas tourné ma langue sept fois dans ma bouche avant de parler...."

Il le regarda toujours puis ils furent interrompu par le cuisinier qui revenait avec deux assiettes. Nathao prit la sienne puis se dirigea lentement vers le réfectoire où il alla s'assoir pour manger.

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Lorsque Nathao prit la parole Ienzo le regarda dans les yeux, il s'excusait par rapport à ce qu'il a dit sur les livres. C'est vrais que cela ne lui avait pas vraiment plus, mais normal qu'il pense ainsi, beaucoup de gens doit penser comme lui. Il n'y a que le jeune bibliothécaire qui voit les livres comme le bien le plus précieux peut être même plus précieux que sa propre vie.

"Ce n'est pas grave j'y ai survécu et puis dans un sens tu ne dois pas avoir tord."

Le cuisinier interrompu la discutions en lors apportant les plats, Ienzo prit son plat et suivit Nathao après avoir remercier le cuisinier.

Nathao alla s'assoir au bout d'une table libre. En passant près de l'endroit où on faisait la file, il avait chiper des couverts pour lui et Ienzo. Il les lui donna une fois a table. Il lui sourit puis commença a manger. Très vite, son assiette fut vide et Nathao termina par piquer dans la derniere feuille de salade avec se fourchette et la mangea. Après l'avoir avalée, il regarda a nouveau le jeune homme.

- "On va faire un tour a la bibliothèque après, cela te va? Tu pourras te familiariser avec l'endroit et y rester si je suis occuper où quand tu veux en faite."

A peine avait-il fini sa phrase qu'il vit s'approcher de lui un aqualien. Nathao lui fit non de la tête. Pas maintenant, ce n'était pas le moment. Il s'occupait de Ienzo et n'avait pas envie d'être dérangé par les disputes ou même par ses obligations. L'aqualien vit son signe de tête et comprit : il s'en alla.

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Ienzo suivit de prés Nathao et s'assit prés de lui et prit les couverts qu'il lui tendait. il mangea doucement, il regardait de temps en temps le rebelle. Il aurait bien voulu retourné dans la chambre comme ça ils pourrait parler librement. Mais lorsque Le basané lui proposa d'aller à la bibliothèque, le jeune homme le regarda et sourit.

"Je veux bien merci."

Il fini de manger juste au moment où quelqu'un s'approcha de leurs table, il remarqua rapidement que Nathao n’était pas d'accord et la personne partit sans demander son reste. Ienzo voulu demandé quelque chose mais finalement il laissa ça de coter. Il ne bougea pas de la table attendant qu'il se levé. Serte il passait son temps a le suivre mais cela n'allait pas durer du moins il le pensait.

Nathao se leva, laissant ses affaires là. Il fit signe a Ienzo qu'ils partaient. Puis, le temps que le garçon se leve, il changea d'avis. Il prit les assiettes et les couverts et alla les porter a la cuisine où ils seront lavés. Il se dirigigea ensuite vers l'homme aux cheveux bleus.

- "Je pense que je t'avais montrer où se situait la bibliothèque ou a peu près non? Et si c'était toi qui m'y menait? Cela te permettra d'essayer de te retrouver un peu ici, non?"

Le rebelle le regarda et lui sourit. Si il n'acceptait pas ce petit "jeu", Nathao ne lui en tiendrait pas rigeur.

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Ienzo suivit comme d'habitude Nathao jusque dans la cuisine où la vaisselle allaient être laver. Mais alors qu'il attendait que le jeune homme reprenne la marche, celui-ci se retourna face à lui et quand il lui demanda de l'emmener jusqu'à la bibliothèque pour voir si il arriverait à ce diriger dans ce lieux tout nouveau pour lui. Il hocha la tête pour accepter la proposition, il serra doucement sa mains avant de commencer à sortir de la cuisine puis du réfectoire. Il ne pouvait pas refuser de faire ça cela allait permettre de montrer qu'il s’était deja habituer au lieux. Il tenta de ne pas montrer ses points faible alors pour cela il se tenait bien droit et regardait droit devant lui, las seul chose qui faisait défauts dans sa magnifique stratégie était qu'il se mordait la lèvres et se tordait les doigts. Il regardait aussi derrière lui au cas où. Mais arriva sans problème majeur à la bibliothèque.